Les amateurs honteux de Francis Lopez, tous ceux qui connaissent et chantent sous leur douche "Poussez, poussez l'escarpolette", les vieux auditeurs de France Musique qui ne manquaient jamais l'émission de la regrettée Sylvie Février, les plus jeunes qui ont pris au moins autant de plaisir que leur mamie au Châtelet, à la reprise du Chanteur de Mexico ont enfin trouvé leur maître à penser !
Benoît Duteurtre est né à Sainte-Adresse, près du Havre. Il commence à écrire vers l'âge de 15 ans. Passionné de musique moderne, il étudie la musicologie à Rouen puis à Paris. En 1982, encouragé par Samuel Beckett, il publie sa première nouvelle dans la revue "Minuit". Il compose de la musique et gagne sa vie comme pianiste.
Après la publication de son roman, "Sommeil perdu" (Grasset, 1985), Benoît Duteurtre travaille comme critique musical et journaliste pour de nombreuses publications, Le Monde de la musique, Diapason, Elle, Playboy. En 1991, il crée avec le compositeur Marcel Landowski une association de concerts, destinée à faire connaître les principaux courants de la musique d'aujourd'hui. Il s'intéresse également aux compositeurs méconnus du XIXe et du XXe siècle et devient conseiller artistique de la "Biennale de la Musique Française" de Lyon. En 1993, il tient le feuilleton littéraire des "Lettres Françaises" puis devient directeur de la collection Solfèges aux éditions du Seuil.
En 1995, Benoît Duteurtre écrit "Requiem pour une avant-garde" (Robert Laffont), un essai polémique particulièrement pertinent sur la musique contemporaine qui provoque un vif débat dans la presse française et étrangère. Il est actuellement critique musical de l'hebdomadaire Marianne, critique littéraire au Figaro et producteur sur France Musique.
Il a signé, en 1997, "Une histoire de l'opérette en France" (Le Seuil), ouvrage couronné par le prix Pelléas. Cette monographie, aussi drôle que documentée et instructive, est aussi un vibrant plaidoyer pour la réhabilitation d'un genre trop vite relégué au rayon de la ringardise : Voir le site de Benoît Duteurtre
"Ma belle époque" (Bartillat) rassemble une série d'articles parus dans la presse depuis une quinzaine d'années. Un délicieux chapitre poursuit la croisade de Duteurtre en faveur de ce qui est joliment regroupé sous le terme "potions légères", à savoir le cinéma de Louis de Funès, les romans Marcel Aymé et bien sûr l'opérette. Car la plupart des "grands" compositeurs ont écrit et souvent aimé des oeuvres plaisantes, et de nombreux auteurs de musique dite légère ont aussi écrit des fugues, des quatuors et des opéras, sérieux bien sûr...
JEF pour CitéGAY
Benoît Duteurtre est né à Sainte-Adresse, près du Havre. Il commence à écrire vers l'âge de 15 ans. Passionné de musique moderne, il étudie la musicologie à Rouen puis à Paris. En 1982, encouragé par Samuel Beckett, il publie sa première nouvelle dans la revue "Minuit". Il compose de la musique et gagne sa vie comme pianiste.
Après la publication de son roman, "Sommeil perdu" (Grasset, 1985), Benoît Duteurtre travaille comme critique musical et journaliste pour de nombreuses publications, Le Monde de la musique, Diapason, Elle, Playboy. En 1991, il crée avec le compositeur Marcel Landowski une association de concerts, destinée à faire connaître les principaux courants de la musique d'aujourd'hui. Il s'intéresse également aux compositeurs méconnus du XIXe et du XXe siècle et devient conseiller artistique de la "Biennale de la Musique Française" de Lyon. En 1993, il tient le feuilleton littéraire des "Lettres Françaises" puis devient directeur de la collection Solfèges aux éditions du Seuil.
En 1995, Benoît Duteurtre écrit "Requiem pour une avant-garde" (Robert Laffont), un essai polémique particulièrement pertinent sur la musique contemporaine qui provoque un vif débat dans la presse française et étrangère. Il est actuellement critique musical de l'hebdomadaire Marianne, critique littéraire au Figaro et producteur sur France Musique.
Il a signé, en 1997, "Une histoire de l'opérette en France" (Le Seuil), ouvrage couronné par le prix Pelléas. Cette monographie, aussi drôle que documentée et instructive, est aussi un vibrant plaidoyer pour la réhabilitation d'un genre trop vite relégué au rayon de la ringardise : Voir le site de Benoît Duteurtre
"Ma belle époque" (Bartillat) rassemble une série d'articles parus dans la presse depuis une quinzaine d'années. Un délicieux chapitre poursuit la croisade de Duteurtre en faveur de ce qui est joliment regroupé sous le terme "potions légères", à savoir le cinéma de Louis de Funès, les romans Marcel Aymé et bien sûr l'opérette. Car la plupart des "grands" compositeurs ont écrit et souvent aimé des oeuvres plaisantes, et de nombreux auteurs de musique dite légère ont aussi écrit des fugues, des quatuors et des opéras, sérieux bien sûr...
JEF pour CitéGAY
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