Entre Poitiers et Parthenay, dans la Vienne, les Soirées Lyriques de Sanxay, avec 55 000 spectateurs en 9 ans, sont devenues le troisième festival d’art lyrique en France, après Aix-en-Provence et Orange.
A l’initiative du festival : un jeune homme de 26 ans, en 1999, féru d’opéra, Christophe Blugeon, séduit par l’acoustique exceptionnelle du théâtre gallo-romain de Sanxay.
Dès 2000, année du premier opéra, Rigoletto, le succès est immédiat. Des milliers de spectateurs vont totaliser 55 000 entrées en assistant à Carmen en 2001, La Traviata en 2002, Nabucco en 2003, Tosca en 2004, La Bohème en 2005, trois soirées de concerts en 2006, Le Trouvère en 2007 et deux soirées de concerts en 2008 dont le Requiem de Verdi
Le festival de Sanxay, avec des places au prix abordable (deux à trois fois moins chères qu’à Aix ou Orange) remplit parfaitement sa vocation de démocratisation de l’art lyrique et attire en majorité un public local, rural, qui peut ainsi découvrir les belles œuvres du répertoire. C’est l’Opéra tel qu’on l’aime et tel qu‘il devrait l‘être, simple, à portée de tous, populaire.
Dans ce village de 600 habitants, l’association compte sur une centaine de bénévoles qui participent activement à l'organisation des soirées. Ils sont peu à peu rejoints par des bénévoles d'autres villages proches. Les festivaliers venus de loin peuvent être accueillis chez l’habitant.
Si le public est majoritairement local, le festival attire de plus en plus d’amateurs, qui profitent de cette occasion pour découvrir ce si beau Poitou qui m’a vu naître, et notamment ce site prodigieux de Sanxay où, à l’âge de 10 ans, est née ma seconde passion après l’Opéra, celle de l’archéologie.
Cette année, Aïda est au programme les 7, 10, 12 et 14 août.
Tous les renseignements sont sur le site http://www.operasanxay.fr/
JEF pour CitéGAY
A l’initiative du festival : un jeune homme de 26 ans, en 1999, féru d’opéra, Christophe Blugeon, séduit par l’acoustique exceptionnelle du théâtre gallo-romain de Sanxay.
Dès 2000, année du premier opéra, Rigoletto, le succès est immédiat. Des milliers de spectateurs vont totaliser 55 000 entrées en assistant à Carmen en 2001, La Traviata en 2002, Nabucco en 2003, Tosca en 2004, La Bohème en 2005, trois soirées de concerts en 2006, Le Trouvère en 2007 et deux soirées de concerts en 2008 dont le Requiem de Verdi
Le festival de Sanxay, avec des places au prix abordable (deux à trois fois moins chères qu’à Aix ou Orange) remplit parfaitement sa vocation de démocratisation de l’art lyrique et attire en majorité un public local, rural, qui peut ainsi découvrir les belles œuvres du répertoire. C’est l’Opéra tel qu’on l’aime et tel qu‘il devrait l‘être, simple, à portée de tous, populaire.
Dans ce village de 600 habitants, l’association compte sur une centaine de bénévoles qui participent activement à l'organisation des soirées. Ils sont peu à peu rejoints par des bénévoles d'autres villages proches. Les festivaliers venus de loin peuvent être accueillis chez l’habitant.
Si le public est majoritairement local, le festival attire de plus en plus d’amateurs, qui profitent de cette occasion pour découvrir ce si beau Poitou qui m’a vu naître, et notamment ce site prodigieux de Sanxay où, à l’âge de 10 ans, est née ma seconde passion après l’Opéra, celle de l’archéologie.
Cette année, Aïda est au programme les 7, 10, 12 et 14 août.
Tous les renseignements sont sur le site http://www.operasanxay.fr/
JEF pour CitéGAY
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