Le 7 octobre prochain, le Théâtre des Champs Elysées accueille le contre-ténor américain David Daniels, pour un programme aussi séduisant qu’ambitieux, qui embrasse l’histoire du chant occidental de Peri à Elgar, en passant par Frescobaldi, Brahms et Reynaldo Hahn.
Le récital proposera également un long détour par Haendel, dans les œuvres duquel le chanteur s’est tout particulièrement illustré au cours de sa carrière, notamment Giulio Cesare (Lyric Opera of Chicago), Tamerlano (Bayerische Staatsoper), Arsace dans la comédie Partenope (Theater an der Wien) et Arsamene dans Xerxes.
C’est en 1996 que le public international découvrit David Daniels, au Festival de Glyndebourne, par son interprétation de Dydimus de Theodora de Handel (direction de William Christie, mise en scène de Peter Sellars). À la somptuosité naturelle de la voix s'ajoutaient un grand talent d'acteur et une présence scénique incontestable qui lui valurent d’emblée un grand succès. Le public français l'a d'abord découvert, voici deux ans, par un disque récital Haendel chez Virgin, accompagné par Roger Norrington. Plus récemment, David Daniels a enregistré un Stabat Mater de Pergolese salué par la critique, avec la soprano Dorothea Röschmann et le fougueux maestro Fabio Biondi.
Titulaire de plusieurs prix prestigieux, dont le titre de « chanteur de l’année 1999 » décerné par le magazine Musical America et, en 1997, le « Richard Tucker award » , David Daniels fût, en 2002, le premier contre-ténor à donner un récital solo à Carnegie Hall.
C’est donc avec enthousiasme et ferveur que son récital parisien est attendu par ses nombreux admirateurs ; je m’en ferai bien évidemment l’écho sur ce blog et sur les colonnes de Citegay.
JEF pour CitéGAY
Le récital proposera également un long détour par Haendel, dans les œuvres duquel le chanteur s’est tout particulièrement illustré au cours de sa carrière, notamment Giulio Cesare (Lyric Opera of Chicago), Tamerlano (Bayerische Staatsoper), Arsace dans la comédie Partenope (Theater an der Wien) et Arsamene dans Xerxes.
C’est en 1996 que le public international découvrit David Daniels, au Festival de Glyndebourne, par son interprétation de Dydimus de Theodora de Handel (direction de William Christie, mise en scène de Peter Sellars). À la somptuosité naturelle de la voix s'ajoutaient un grand talent d'acteur et une présence scénique incontestable qui lui valurent d’emblée un grand succès. Le public français l'a d'abord découvert, voici deux ans, par un disque récital Haendel chez Virgin, accompagné par Roger Norrington. Plus récemment, David Daniels a enregistré un Stabat Mater de Pergolese salué par la critique, avec la soprano Dorothea Röschmann et le fougueux maestro Fabio Biondi.
Titulaire de plusieurs prix prestigieux, dont le titre de « chanteur de l’année 1999 » décerné par le magazine Musical America et, en 1997, le « Richard Tucker award » , David Daniels fût, en 2002, le premier contre-ténor à donner un récital solo à Carnegie Hall.
C’est donc avec enthousiasme et ferveur que son récital parisien est attendu par ses nombreux admirateurs ; je m’en ferai bien évidemment l’écho sur ce blog et sur les colonnes de Citegay.
JEF pour CitéGAY
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