La plupart des associations trans, bi, gay et lesbiennes le réclamait depuis longtemps, c'est enfin une réalité !
Comme la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, s'y était engagée le 16 Mai 2009, le transsexualisme n'est désormais plus considéré comme une maladie mentale en France.
Alors que l'association confirme qu'elle travaille actuellement sur des projets visant à l'amélioration de la prise en charge de la transidentité dans notre société, et à la lutte contre la transphobie, Philippe Castel, de l'Inter LGBT, rappelle que bien d'autres actions restent encore à mener, comme par exemple l'accélération de la procédure du changement d'état civil. "Actuellement, la France oblige à subir une opération chirurgicale qui implique une stérilisation pour passer de M. à Mme ou l'inverse sur les papiers d'identité alors que la moitié, environ, des transsexuels ne souhaitent pas changer physiquement de sexe", a-t-il précisé.
EN SAVOIR PLUS : http://www.t-r-a-n-s-e-x-u-e-l.com/associations-transexuelles.html
Comme la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, s'y était engagée le 16 Mai 2009, le transsexualisme n'est désormais plus considéré comme une maladie mentale en France.
Cette décision se concrétise par la parution le Mercredi 10 Février dernier, du décret n° 2010-125, qui supprime en effet dès son article premier «les troubles précoces de l'identité de genre» de la liste des affections psychiatriques.
Selon la ministère de la santé, cette déclassification du transsexualisme « marque ainsi un tournant majeur, l’admission en ALD 23 étant vécue « comme très stigmatisante » par les personnes transsexuelles. »
Joël Bedos, responsable français au Comité IDAHO (International Day Against Homophobia and transphobia), s'est quant à lui félicité Vendredi auprès de l'AFP, que la France soit le premier pays au monde à avoir enfin pris cette décision.
Une décision qui pour Gaylib, "hisse la France à la première place en la matière, des pays européens"'Alors que l'association confirme qu'elle travaille actuellement sur des projets visant à l'amélioration de la prise en charge de la transidentité dans notre société, et à la lutte contre la transphobie, Philippe Castel, de l'Inter LGBT, rappelle que bien d'autres actions restent encore à mener, comme par exemple l'accélération de la procédure du changement d'état civil. "Actuellement, la France oblige à subir une opération chirurgicale qui implique une stérilisation pour passer de M. à Mme ou l'inverse sur les papiers d'identité alors que la moitié, environ, des transsexuels ne souhaitent pas changer physiquement de sexe", a-t-il précisé.
EN SAVOIR PLUS : http://www.t-r-a-n-s-e-x-u-e-l.com/associations-transexuelles.html
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